Une quarantaine de « terroristes » ont été mis hors de combat par la force Barkhane au cours de plusieurs frappes aériennes près de la frontière entre le Bénin et le Burkina Faso jeudi après l’attaque qui a coûté la vie mardi à six garde forestiers, dont un ressortissant français, dans un parc naturel transfrontalier, a annoncé samedi l’état-major des armées françaises.
Selon l’état-major, les « terroristes » éliminés au cours de ces frappes étaient responsables de l’attaque menée mardi dans le parc naturel du W, géré par l’ONG African Parks sur les territoires du Bénin, du Burkina Faso et du Niger.
Avec l’Agence Reuters